Le jeu du Logorallye

Un autre petit jeu? C'est parti!

Le principe:
Le logorallye est un exercice qui consiste à inclure dans un texte très court ( une dizaine de lignes) un certain nombre de mots imposés au départ, même (et surtout !) quand ces mots semblent ne pas avoir de rapport entre eux. Si vous aimez les défis, vous pouvez insérer les mots dans l'ordre dans lequel ils ont été donnés !
On donnera de nouveaux mots chaque semaine

Donc pour cette première édition , vous devez écrire un court texte dans lequel figureront les mots suivants:
Bon courage! :lol:

Bon, on ne se moque pas, c'est un texte d'une simplicité extrême je vous préviens xD

Oh il est tout mignon ton texte !!!
Jules... Est-ce si étonnant ?
J'adore !!

Mais oui, il est très bien ton texte !

Alors, moi aussi je vais faire un essai, ahem *se râcle la gorge*

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Un crocodile, deux cro…. Sans plus attendre, Liz se rua dans la circulation, profitant d’une opportunité pour se glisser entre deux voitures. Au diable les conseils de sécurité, il faisait bien trop chaud pour attendre à ce carrefour que les autres dégagent. Le thermomètre de son véhicule indiquait 29° à l’extérieur tandis que son intérieur avait été transformé en véritable fournaise. Elle essuya d’un geste distrait la sueur qui coulait de son front, gardant les yeux rivés sur la circulation, à l’affût d’une place de parking.

Elle y était presque.

Mais pourquoi avait-elle voulu aller à la boulangerie du centre ville, alors qu’il y en avait une à deux cents mètres de chez elle ? Parce qu’elle était gourmande et que les pâtisseries d’Henri, même sous cette chaleur toride, étaient les meilleurs qu’elle n’ait jamais connues !

La aussi, on y faisait file.

Attendant son tour à l’extérieur du commerce, tant il y avait des clients, Liz jeta un œil au magasin d’à côté. En devanture trônait un carrousel de cartes postales et autres souvenirs. Sur la vitrine, étaient apposées diverses affiches publicitaires. L’une d’elle, en particulier, attira son attention. On pouvait y lire : A vendre, pour cause de double emploi, dictionnaire de 1927. Liz étouffa un petit rire tout en avançant d’une place dans la file.

Lily, Charming Liz, vos textes sont géniaux...* réfléchit dans sa tête comment faire un texte à la hauteur...*

Heu..on a le droit de faire un texte imporbable? Bon j'y réfléchit dans l'aprèm...

Ah y est, j'ai mon texte...bon un peu tiré par les cheveux *aie, j'ai mal*


Nicolas n’en croyait pas ses yeux. Un crocodile avançait droit sur lui ! Pris de terreur il ferma les yeux et se retrouva sur une île paradisiaque. Il faisait une chaleur torride !
-Mais quelle chaleur ! s’exclama t-il. Mais quelle température fait-il ? dit-il suffoquant.
-Le thermomètre affichait 25° ce matin, maintenant nous devons être proches des 40°C ! dit une jeune fille qui venait de nulle part.
Après toutes ces émotions, Nicolas eut soudain faim. Il chercha donc une boulangerie dans le petit village de l’île. Au bout du village, il vit un amas de personnes autour d’une carrière. En s’approchant, il découvrit que des cavaliers effectuaient un très joli spectacle. Il entendit alors quelqu’un s’exclamer près de lui :
-Je n’ai jamais vu un carrousel aussi réussi !
Nicolas regarda partout autour de lui mais ne vit aucun manège.
-Qu’est ce que c’est un « carrousel » ?
-Regarde donc dans le dictionnaire !

C’est à ce moment là que Nicolas se réveilla…

Voilà le mien :

Ps : Sa se passe a une autre époque .


" Il y a un temps ou Constantine fut malade , Pendant de long jours qui semblait interminable , Elle ne sortait plus et était pâle.Son père était tant dévouer a sa fille qu'il se portait son chevet chaque soir pour veiller sur elle ... Un soir son père s'était endormie près de sa fille ; main dans la main ; Celle ci le réveilla doucement par un baiser sur le front :
" Père vous allez bien ?
- Très bien mais ... Tu est moin pâle !
- Il me semble que je vais mieux père ...
- Ou est le thermomètre ? Bien ouvre la bouche Constantine ; Mais tu est en parfaite santé ! Qu'est ce qui te ferais plaisir ?
- J'aimerais faire un tour en Carousel père ; Aussi j'aimerais que vous m'offriez ce dictionnaire qui me plait tant ; J'en aurait besoin certainement pour mes prochaine étude ...
- Bien sur ! Habille toi ma fille " Père & Fille sortirent main dans la main ; Le père s'arrêta a une boulangerie acheter une bonbone remplie de sucrerie a sa fille ; Il ne prit que des crocodile il savait que sa fille en raffolait de plus c'était une grande nouveauté de leur époque ...

Désoler pour les ligne en plus

Très bien l'idée du rêve, Kitty !

Ameel, bravo, c'est rare une enfant qui demande un dictionnaire en cadeau... en tout cas, moi, beurk, j'en n'aurais pas voulu

Je me suis fait la même réfléxion que toi Charming Liz, concernant l'enfant et le dico...mais comme Ameel ne précise pas l'âge je me suis dit qu'elle devait être adolescente. Autrement, très bonne idée de texte Ameel!!

Claire venait de rentrer de la boulangerie où elle travaillait. Elle était épuisée, et pensait être malade. Elle savait que ses deux petits monstres l'attendaient avec impatience. Claire ouvrit la porte d'entrée, et quelle ne fut pas sa surprise de voir qu'elle avait désormais non pas un fils et une fille, mais un crocodile et une limace géante.
"-Qu'est-ce que c'est que ça ? demanda-t-elle en écarquillant les yeux.
-C'est pour le carnaval de l'école maman ! dit Lisa, toute fière.
-Même qu'on va vendre des tickets pour le carrousel, ajouta Mathéo.
-Un carrousel ? demanda la mère sans vraiment écouter ce que son fils lui disait."
Elle alla chercher le thermomètre pour prendre sa température.
"-Un carrousel c'est un manège maman, ils le disent dans le dictionnaire ! dit Mathéo qui avait suivit sa mère.
-Je sais ce que c'est qu'un carrousel mon chéri, et maintenant laisse-moi respirer deux minutes, ou tu risques d'apprendre très vite ce que c'est que la morgue."

CharmingLiz, Ameel et Kitty, vous textes sont supers !

Alice a écrit:et maintenant laisse-moi respirer deux minutes, ou tu risques d'apprendre très vite ce que c'est que la morgue."

Hahaha, Alice, chassez le naturel, il revient au galop ! On te reconnait très bien avec cette petite phrase "assassine" LOL

Ah ! j'ADORE vos textes xD Mais c'est comme si c'était trop simple, il faudra choisir des mots plus compliqués pour la prochaine fois !

Joli Alice! Surtout la dernière phrase , c'est tout toi :lol:

Merci les filles !! J'ai essayé d'écrire un truc normal, et en me relisant je me suis dit : Mais ?! C'est quoi ça !! O.O Faut absolument changer !! Et du coup j'ai mis une touche d'Alice !

Fait divers dramatique dans une petite ville du Centre de la France.
Les habitants de la petite ville de C… sont encore sous le choc des évènements survenus ce week-end et qui ont bouleversé la tranquillité de la bourgade. Samedi vers 8h du matin avant l’ouverture du zoo, le Dr G…., l’un des vétérinaires, alerte la direction de l’absence dans son aquarium de l’un des cinq crocodiles du vivarium . Ce dernier s’est mystérieusement volatilisé dans la nuit sans que personne ne sache comment l’animal mesurant près de deux mètres a pu sortir de son enclos vitré. « En dehors du fait que le thermomètre peut facilement descendre en dessous des -10° en ce moment et qu’il risque de ne pas survivre, je m’inquiète du danger qu’il représente pour la population des alentours », confiait le vétérinaire quelques heures après avoir donné l’alerte.
D’importantes battues ont été organisées conjointement par les membres du zoo , par la gendarmerie et les pompiers locaux. Mais ce fut peine perdue, et pour cause : l’animal s’est intelligemment réfugié dans le sous-sol de la boulangerie où il a pu profiter de la chaleur des lieux avant d’être surpris par le boulanger. L’infortuné propriétaire a réussi à échapper au pire grâce à son agilité et sa rapidité. Mis en fuite par les pains lancés par le boulanger, l’animal poursuivit son périple encore plusieurs heures dans la petite ville, semant la terreur dans le parc où il a tenté de passer inaperçu au milieu des chevaux du carrousel. Le crocodile a achevé son odyssée dans la cour de l’école vaincu par le poids du savoir puisqu’il a été neutralisé par les dizaines de dictionnaires lancés par les élèves des fenêtres du bâtiment.
L’histoire se termine bien pour le crocodile fugueur qui a maintenant rejoint son enclos à l’abri des agressions du monde extérieur.

Elora : Oh, c'est super bien fait et super joli !! J'adore !! ( Sauf que vous êtes méchante avec mon crocodile ! é.è )

Glissière, savate, anesthésie, nénuphar, poupée.

Bon courage :lol: !

Alban mis sa veste et ferma la glissière avant de sortir se promener au parc. Le temps était humide et mieux valait se couvrir. Alors qu’il marchait tranquillement dans une allée une horde de moustiques se mit à tourner autour de lui. Il se déchaussa et se servit de sa savate pour mettre hors d’état de nuire le maximum d’inquisiteurs .Mais il rata sa cible et frappa lourdement son bras. Instinctivement il remonta ses manches et exerça une pression sur le bleu qui commençait à se former comme si ça allait servir d’anesthésie contre la douleur. Il regarda autour de lui et vit l’origine de son mal. Une mare dans lequel se trouvait un nénuphar croupissait attirant tout insecte non désiré et suceur de sang. Un peu plus loin, une petite fille semblait se battre contre les bébêtes indésirables en frappant l’air avec sa poupée.

Bien joué Kitty et quelle rapidité!

Super texte Kitty !!

Bon voilà, moi aussi je me lance
Il fait par contre un peu plus de dix lignes, mais je ne voyais pas comment le raccourcir.
J'espère que vous aimerez.
Par contre, j'ai l'impression qu'il manque quelque chose...si quelqu'un a une idée...


Du bruit.
De la cohue.
De la fumée
Et du sang. Beaucoup de sang.

Se bouchant les oreilles pour tenter d’échapper à toute cette horreur, l’homme tituba jusqu’à la glissière de sécurité, qu’il enjamba avec difficulté.
Une fois de l’autre côté, il examina de ses yeux vitreux les alentours pour être certain que personne ne le voyait, puis s’élança dans la nuit, chancelant, loin de tout le vacarme assourdissant et des lumières trop vives.
Il avait juste un peu trop bu, un peu trop fumé, roulé un peu trop vite. Comment aurait-il pu deviner que ça allait se passer ainsi ? Ce n’était pas sa faute, non. Pas sa faute du tout.
Secouant la tête comme pour nier les paroles qu’une personne invisible lui murmurait, il continua sa route d’un pas mal assuré. Si des flics se pointaient, il leur dirait. Il leur dirait qu’il ne l’avait pas fait exprès, qu’il n’avait voulu blesser personne. Qu’il n’avait voulu tuer personne.
Trébuchant dans ses savates trouées, il s’écrasa lourdement sur le sol la tête la première, faute de pouvoir se rattraper avec ses mains, qui semblaient ne plus vouloir lui obéir.
Le paysage tanguait devant ses yeux, et la buée imbibée d’alcool qui sortait de ses lèvres rendait son champ de vision d‘autant plus flou. Ses paupières, lourdes, se fermaient d’elles-mêmes, l’invitant au sommeil.
Dans son bras, une douleur sourde se réveilla, et il étouffa un grognement.
Une heure, se souvenait-il. C’était ce qu’avaient dit les ambulanciers au moment de lui faire l’anesthésie.
« Tous des incompétents… » Marmonna-t-il pour lui-même en essayant de se relever, sans succès.
Il voulait rentrer chez lui à présent. S’assoir sur la petite chaise dans son jardin derrière la maison, observer son chien Pluto tentant d’attraper les petites grenouilles de sa marre qui se cachaient sous les nénuphars.
Des bruits de pas proches lui firent lever la tête. Ou du moins essayer de la lever.
Ils l’avaient trouvé, enfin, ce n’était pas trop tôt. Qu’est-ce qu’ils avaient fait pendant tout ce temps ?
Il ferma les yeux, certain à présent qu’il n’aurait plus besoin de les ouvrir, et céda aux douces abysses du sommeil.

En les rouvrant, il constata qu’il n’était plus allongé dans l’herbe, mais sur un brancard transporté par deux hommes en blouse blanche. Ils le ballotaient de droit à gauche, faisant remuer son bras à présent plus que douloureux. Il put constater au passage que l’un des d’eux possédait une montre de très grande marque.
Il aurait bien aimé en avoir une comme celle-ci.
Si seulement son idiote d’ex-femme ne lui avait pas laissé lors du divorce qu’un pauvre bâtard pouilleux et sa vieille gamelle poussiéreuse. Si seulement son idiot de patron ne l’avait pas renvoyé pour cause de délocalisation dans un pays lointain pour une main d’œuvre à moindre coût. Si seulement cet idiot de juge d’instruction ne l’avait pas privé du droit de visite à sa petite Zoé pour cause de situation précaire. Si seulement ses idiots d’amis ne lui avaient pas proposé cette petite virée nocturne dans la ville voisine pour se changer les idées. Si seulement le barman ne l’avait pas autorisé à commander ce petit verre de trop.

Et si seulement cette idiote de poupée sur le bitume pouvait arrêter de lui jeter ce regard accusateur, comme si elle savait que sa propriétaire n’aurait plus jamais l’occasion de venir la récupérer.

Bravo les filles, j'ai adoré vos textes! Complètement différents tous les deux d'ailleurs ! Comique pour Kitty, dramatique pour Blood !
Et Blood, il ne manque rien à ton texte !

Blood, il est vraiment génial ton texte !!! :O ( Mis à part le chien qui s'appelle Pluto, comme le chien de Mickey... >.< )

Tu sais Alice, le chien de Mickey n'est pas le seul qui s'appelle Pluto xD.
Et puis j'aime bien ce nom moi